A la vue de tout ce qu’il se passe dans la vie de tous les jours, chacun sait que les entreprises sur le territoire sont légions et que ces dernières peuvent prendre différents aspects notamment en fonction de leur statut. Une entreprise qui est sous le régime d’une micro société ne remplira pas les mêmes conditions qu’une entreprise anonyme ou qu’une société à responsabilité limité ou encore qu’une entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée, bien sûr en fonction de chaque statut les conditions d’éligibilité sont soumis à des critères particuliers qu’il est possible d’identifier avec des comparateurs de statuts en ligne. pour ensuite affiner son choix et identifier celui qui sera le plus à même de convenir pour le futur projet professionnel. L’identification de la société peut bien sûr se faire sur le territoire mais, peut également se faire à l’étranger en utilisant les services d’un prestataire spécialisé dans la création de sociétés offshore.
Comment se déroule la création d’une société offshore ?
L’envie de faire immatriculer une société à l’étranger peut être motivé par de multiples raisons cependant il y en a une qui ressort systématiquement c’est la volonté de réduire les dépenses liées à la fiscalité car les chefs d’entreprises le savent bien en France, l’imposition sur les entreprises est particulièrement conséquente. Pourquoi créer une société offshore ? Tout d’abord, le choix du pays pour la création de la société offshore n’est pas fait au hasard, il y a bien entendu des pays où l’imposition est très faible, ces derniers sont généralement situés hors de l’union européenne et permettent de surcroît au bénéficiaire d’avoir à moyen ou à long terme une meilleure rentabilité. En France l’impôt sur les sociétés est d’environ le 1/3 du chiffre d’affaires ce qui est énorme tandis que dans d’autres juridictions l’impôt est quasi nul voir même inexistant d’où l’évidence de considérer sérieusement le projet. D’autres raisons peuvent conforter l’instigateur dans le choix de création d’une société offshore comme le fait d’une protection des fonds ou encore l’anonymat qui peut être nécessaire pour certaines activités.
